L'époque n'est plus de mise pour polémiquer sur les dommages de l'IVG. La loi a recouvert tout cela d'un voile de banalisation et de silence ordinaire. On peut maintenant parler des séquelles causées par les interruptions thérapeutiques ou médicales de grossesse. Car il s'agit toujours de la mort d'un petit d'homme, avec toute la souffrance que provoque la perte des attachements physiques, psychiques et spirituels. Le deuil périnatal est un monde de fantômes terrifiants. Comment quitter, donc être quitte avec ces enfants qu'on n'a parfois même pas nommés et que les parents, la fratrie et les grands parents n'ont vus, ni touchés ? C'est ce silence sans fond (le plus toxique) qui fait que le deuil dure sans fin et que la fausse commune reste toujours ouverte. Voici un petit livre chargé, pour donner une juste place à la mort, au coeur de notre vie quotidienne. Ce livre pourrait être dédié à tous ceux qui portent comme prénom "Grossesse". --Psychonet.fr --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
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