Avec sa rage de vivre intacte, son insolence, son ironie, la tendresse et la mélancolie qui faisaient tout le charme de Vivre me tue, Paul Smaïl poursuit ici son aventure romanesque de Don Quichotte de notre temps, perdu dans un monde dont les moulins à vent bien réels, sont le racisme, le mercantilisme, l'égoïsme, la mesquinerie, l'indifférence.
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