En indiquant ce que vous aimez, vous améliorez votre expérience de navigation. Vous avez aussi l'option de partager vos lectures avec vos amis. En savoir plus
Rien n'a plu davantage dans les lettres persanes, que d'y trouver, sans y penser, une espèce de roman. On en voit le commencement, le progrès, la fin : les divers personnages sont placés dans une chaîne qui les lie. À mesure qu'ils font un plus long séjour en Europe, les mœurs de cette partie du monde prennent, dans leur tête, un air moins merveilleux et moins bizarre : et ils sont plus ou moins frappés de ce bizarre et de ce merveilleux, suivant la différence de leurs caractères. Dans la forme de lettres, l'auteur s'est donné l'avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale, à un roman; et de lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue.
'Lettres persanes' Montesquieu (1689-1755) Philosophe et écrivain français, il acquit une réputation de bel esprit avec les Lettres persanes, véritable satire de la France du début du XVIIIe siècle. S'intéressant essentiellement à l'histoire et à la politique, il connut un succès ...
L'étonnement de deux voyageurs persans est prétexte à une peinture sans tabou de la fin du règne de Louis XIV. Les particularismes du temps, tout comme les faiblesses et les inclinations naturelles de la nature humaine, sont observés d'autant plus attentivement qu'ils le sont d'un point de vue...
Usbek et Rica, deux amis persans venus du lointain Orient, rejoignent Paris et y séjournent pendant neuf ans. Dépaysés et surpris, ils vont découvrir les coutumes exotiques et les mœurs étranges des Français ! En ce début de XVIIIe siècle, l'esprit critique des Lumières commence à ...
L'étonnement de deux voyageurs persans est prétexte à une peinture sans tabou de la fin du règne de Louis XIV. Les particularismes du temps, tout comme les faiblesses et les inclinations naturelles de la nature humaine, sont observés d'autant plus attentivement qu'ils le sont d'un point de vue...
Rien n'a plu davantage dans les lettres persanes, que d'y trouver, sans y penser, une espèce de roman. On en voit le commencement, le progrès, la fin : les divers personnages sont placés dans une chaîne qui les lie. À mesure qu'ils font un plus long séjour en Europe, les mœurs de cette partie du monde prennent, dans leur tête, un air moins merveilleux et moins bizarre : et ils sont plus ou moins frappés de ce bizarre et de ce merveilleux, suivant la différence de leurs caractères. Dans la forme de lettres, l'auteur s'est donné l'avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale, à un roman; et de lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue.
Commentaires sur cet article
Personne n'a encore laissé de commentaire. Soyez le premier!
Laisser un commentaire